ONE-SHOT JDR

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ONE-SHOT JDR, jeux de rôles proposés gratuitement chaque mois par Alexandre Guillemaud en paternariat avec les associations toulousaines ou à domicile.

dimanche 29 mai 2016

One Shot Jdr Abyss Scénario

ONE SHOT JDR SCENARIO


ABYSSES

Une station minière abyssale ne répond plus ! 



L’équipe Seaquest est dépêchée sur place !
 Casting
Poste Médical et Scientifique

 Médic (infirmier, médecin chirurgien)
 Laborentin (botaniste, géologue, océanologue, biologiste)
Poste Sécurité et Survie
Cuisto - Fusco (fusilier marin commando et cuisinier)

Poste Armement et Propulsion

 Torpilleur
 Informaticien
 Eloctromécanicien
Poste Commandement et Communication

Navigateur
Informaticien
Pilote


Liste des Personnages (cliquez sur le lien)






Photos de la mission SeaQuest

Inspirations:

Jeux de Rôles

 Subabyss
Polaris

Romans

 Série de Philippe Tessier

Films & Séries 

Secret Second Word War Les Missions

SECRET SECOND WORLD WAR

LES MISSIONS

Mission 1: Pologne 1939 La Clinique
 Afin de découvrir les expériences médicales menées par les Nazis, les membres du SOE sont envoyés dans une clinique polonaise protégée par la Waffen SS.

Mission 2 : Norvège 1940 L'usine Norvégienne
Le premier ministre Churchill et Raoul Dautry, ministre français de l'Armement, confient à nos héros, à la veille de l’invasion de la Norvège par les Nazis, la très délicate mission de prendre les Allemands de vitesse et de rapatrier le stock mondial d'eau lourde de l'usine Norsk Hydro.

Mission 3 : France 1940 Opérations Dynamo et Wotan Aux dernières nouvelles un agent du SOE s'est infiltré dans les lignes ennemies. Profitant de l'opération Dynamo où d’innombrables navires de toutes sortes sont envoyés récupérer l'armée anglaise en déroute sur les plages de Dunkerque, nos héros doivent retrouver l'agent disparue puis avec elle découvrir les activités archéologiques nazies sur un site sous-marin.



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Secret Second World War Mission 1 Pologne 1939

SECRET SECOND WORLD WAR 

MISSION 1

 


Prologue
Poursuivis par un chasseur messerschmitt les membres du SOE atterrissent en catastrophe à l'aérodrome de Varsovie à bord d'un Junkeren flammes.

 Les Héros fuyant l'avion de transport en flammes rejoignent l'armée polonaise qui tient le poste de communication soutenus par des chars légers.


Au poste de communications ils rencontrent l'agent de liaison Krystyna SKARBEK.


Face au Panzer et à l'assaut des troupes allemandes, les membres du SOE fuient l'aérodrome.

De toute façon leur mission n'est pas de soutenir les armées polonaises de l'invasion allemande.

Leur mission consiste à investir une clinique gérée par la waffen SS.

Afin de découvrir les expériences médicales qui y sont réalisées, les membres du SOE planifient leur mission.

Pour mener à bien leur plan, la résistance leur fournit un film et une série de photographies.

Film du survol nocturne de la Clinique





Photographies prises depuis la route à bord d'un camion.




Rapport de Mission:

Depuis le 1er septembre 1939 l’attaque allemande avait pour but principal la prise du corridor de Dantzig et de Varsovie. L'invasion de la Pologne débuta par un grand bombardement aérien de la capitale dont les aéroports par la Luftwaffe. En mêm temps une bataille navale s’engagea au large des côtes polonaises. Bien que les trois meilleurs destroyers ont pu gagner le Royaume-Uni, la Pologne disposait encore de sous-marins qui tentèrent vainement de couler les plus imposantes pièces de la Kriegsmarine.




Sur terre, malgré une offensive des lanciers polonais, la Wehrmacht aidée des divisions panzers repoussait les Polonais au nord. Ces derniers tenteront vainement de percer. Les Allemands atteignirent rapidement la Vistule. Le 3 septembre, la IIIe armée allemande basée en Prusse-Orientale lança ses divisions à l'assaut des forces polonaises par l'Ouest. Le lendemain, l'armée fit la jonction avec les troupes venant du Nord. Pendant ce temps, le 1er corps d’armée venant de Prusse-Orientale formait l'une des deux tenailles qui devait se refermer sur Varsovie. Les Allemands contournèrent les positions polonaises en évitant soigneusement les places fortes.

Le bilan de ces premiers jours est catastrophique pour les Polonais. Après trois jours d’âpres combats l’Allemagne perce les défenses et se dirige ainsi droit vers Cracovie qui fut prise sans combat. Dans le même temps, elle continua sa progression vers Varsovie, en concentrant ses efforts sur Częstochowa et de Breslau.
 


Néanmoins, le 6 septembre les Polonais réussiront durant leur retraite à faire sauter quelques ponts sur la Vistule. Seule l'armée de Poznań n’a pas été attaquée. Son chef, le général Kutrzeba, demanda au Maréchal Rydz-Śmigły l'autorisation de contre-attaquer le flanc de la 8e armée, contrainte d’arrêter son avance faute de carburant.

Dans la nuit de 7 au 8 septembre, nos héros à peine débarqués de l'aéroport de Varsovie décidèrent de s’infiltrer dans la clinique de Poznan. Située au Nord-ouest de Varsovie, la ville était épargnée par l'invasion allemande. La route Varsovie-Poznan fut le petit trou de souris par lequel les membres du SOE pouvaient se faufiler pour rejoindre un village non loin de leur objectif.

Mission : Infiltrer la Clinique et se Renseigner sur les activités

1/ La Clinique : Infiltration et Documentations

Sans soutient aérien depuis la perte des aéroports d'une part, ni celui des troupes polonaises battant en retraite pour reconstituer un front afin de stopper la progression allemande d'autre part, nos héros, vêtus comme des paysans, furent menés par l'agent de liaison SKARBERK Krystina jusqu’au village. Profitant qu'un véhicule militaire était en réparation, ils le subtilisèrent en ayant préalablement assommé et récupéré l'uniforme de son chauffeur SS.

Le commando se sépara en 3 groupes. L'un sectionna la ligne télégraphique alors qu'un autre sillonnait à vélo les chemins forestiers. Le troisième se présentait à l'aubette de la clinique à bord d'une camionnette.

Costumé en villageois, munis des documents officiels et de vivres, le garde en faction leur ouvrit la barrière. Pénétrant au rez-de chaussée du bâtiment, les agents féminins furent bien accueillies au messe. Usant de leurs charmes, elles offrirent en plus de leurs sourires les bouteilles droguées. Les unités SS et les officiers scientifiques KarlGebhardt et HelmutPoppendick se réjouissaient de la venue d'un haut dignitaire : le Marquis Général Herman Von Heïzinger. Si le sergent et maître-chien Karl Zerman ne but pas, il fut tout autrement pour les officiers scientifiques. Les troupes et le cuisinier ne furent pas en reste. Inquiété par le retard de l'officier supérieur, Zerman essaya en vain de joindre l’État Major. Comme la ligne ne semblait pas fonctionner correctement, le sergent Zerman songea d'utiliser celle de la Mairie. Il réquisitionna le véhicule des villageois. Accompagné de son chien Ozo et de deux soldats, il prit la direction du village.

Pendant ce temps, le commando éliminait un garde en patrouille du côté de la forêt ainsi que la sentinelle postée sur le toit en gravissant une échelle murale.

Convaincus de leur attirance masculine, les scientifiques accompagnèrent les éléments féminins jusque dans leur chambrée. Ils furent dociles même sous la contrainte des armes. Le commando trouva l'essentiel des soldats enivrés et somnolant sur les bancs du messe. Anesthésiés par la drogue certains ronflaient dans leur bave.

Profitant du laps de temps avant la relève de la garde, nos agents scientifiques vidèrent les coffres ainsi que les armoires du laboratoire. La classification des dossiers leur révéla les expériences menées dans cette clinique depuis des années. Il s'agit en l'espèce des Programmes ZETA, META , ARKTION et Umberman initiés par KarlBrandt.



Quand la relève vint patrouiller leur étage, tous se cachèrent. D'un génial coup de chance, un seul tir au silencieux dans la nuque suffit pour tuer une patrouille muni d'un lance-flammes. Malgré tout l'alarme fut lancée.

Précautionneusement le Commando descendit au sous-sol et fouillèrent les salles d'opérations. Ils y trouvèrent des échantillons d'organes, des liquides résultant de protocoles expérimentaux, de l'équipement de protection anti-bactériologique et anti-radioactive ainsi qu’un cobaye presque vivant enfermé dans une cellule, répondant au nom de BLAZKOWICZ Lila. Son dossier présentait des expériences post-mortem relevant des différents programmes.

Les agents dynamitèrent précipitamment les salles d’opérations sans examiner la dernière pièce. Ils en avaient apparemment trop vu pour s'exposer à davantage de danger.



2/ Le Village : un rendez-vous explosif



Une nouvelle foi nos héros se scindèrent en deux groupes. Entre les otages dans le coffre et l'amas de dossiers récupérés,le véhicule n'avait guère plus de place pour le seul conducteur. Notre égyptologue conduisit vers le village alors que le reste des membres du SOE prenait la clé des champs. Peu avant le village il aperçu dans un fossé la camionnette. Les grandes portes arrières ouvertes, elle semblait vidée de ses passagers. Le conducteur et son chien avaient eux aussi disparu.

Comme des démons sortis de l'enfer, deux soldats SS bondirent sur lui. Surpris, il se trouva aussitôt désarmé. Bien que leurs armes bandaient à leur cou, ils ne cherchaient qu’à le mordre. L'un deux profitait d'un trou béant dans la toiture pour s'y faufiler et s'y coincer. L'autre attaquant s'était interposé entre les deux portières et cherchait à le griffer. Réfugié dans la camionnette il lutta de toutes ses forces pour contenir à l'extérieur les deux assaillants jusqu'au moment où un tir retenti.

Celui des portières ne bougea plus. Un pistolet l'ordonna de quitter sa cachette. Un chien l’accueilli les babines retroussées. Pour achever le travail, une grenade fut jetée dans le véhicule. Les mains sur la tête et suivi par le chien, notre héros s'exécuta. Pourquoi le sergent Zerman l'avait-il sauvé ? Sauvé, faut-il encore le dire vite ! Zerman libéra les deux otages scientifiques et ligota Rick dans le coffre. Ce dernier fut conduit au village et suspendu à une poutre du garage.





Arriva quelques minutes plus tard une voiture protégée d'un side-car. L'officier qui en sorti devait-être ce général tant attendu. Il était accompagné d'une scientifique à en croire sa blouse blanche et d'un agent de la Gestapo. Alors que Gebhard transférait les documents récupérés dans le coffre du véhicule du général, l'agent exécutait les villageois des maisons adjacentes à la Mairie. Pensant à son prochain trépas, Rick espérait s'entretenir avec le général. Même si celui-ci semblait menacé le Maire du village, il a plus de chance de survivre à un interrogatoire avec un officier militaire qu'à une exécution expéditive menée par un sbire de la Gestapo. Étonnement l'agent ne s'intéressa pas à lui et regagna son siège de conducteur.




Ayant convenu une retraite sur le village, les autres membres du commando longeaient la route en lisière de forêt. Arrivés à hauteur de la camionnette ils trouvèrent à l'intérieur le soldat déchiqueté par la grenade et un corps pendant à travers la toiture. Examiné par notre ethnologue australienne ce dernier se manifesta par des tentatives de griffures, de morsures et quelques crachats. Aidée de Quatermain, professeur HILL fit des prélèvements de sang et d’organes.



Alertés par les tirs, les membres du commando arrivèrent discrètement au village. Cependant l'usage d'un fusil sans silencieux ne fut pas une idée de génie. L'ensemble des troupes répondirent. Une mitrailleuse lourde fit feu en direction de notre ethnologue. Par chance, la maison en ruine dans laquelle elle s'était réfugiée la sauva des terribles rafales. Seuls quelques éclats la blessèrent.

 
 

Par chance Niels se montra un tireur d'exception. Profitant du chaos général, Rick se libéra de ses liens et subtilisa un fusil. Si Quatermain ne joua pas aux héros, BJ couvrait de son arme lourde la route. Si mettre le feu aux véhicules était tactiquement une bonne solution, elle conduisit à la perte de précieux documents et d'un moyen de transport. Mais dans la catégorie des actes inconsidérés, l'utilisation à pleine puissance d'un cordon détonnant fit voler en éclats la moitié de la Mairie et ses otages. Tout ça pour éliminer un officier supérieur Immortel en fuite et prêt à se suicider si nécessaire. Certes il semblait être increvable. Mais combien de fois a-t-il fait usage de son arme ?

De plus, il eusse fallu d'un cheveu pour que les renforts en la personne de YIN FU ne fusse réduit à néant par l'arme antichar de BJ. Réflexe ou miracle, si la cible fut heureusement manquée, elle termina sa course par accident dans un autre véhicule déjà en flammes.

Enfin de compte nos héros ont pu récupérer quelques documents mettant en exergue les programmes expérimentaux de la clinique pour le compte des Nazis et un pied en métal qui feront le bonheur des recherches de notre prix Nobel de physique.

Comme souvent la cavalerie arriva après la bataille. Des troupes polonaises soutenues par quelques chars accompagna notre commando à la gare de Poznan.



Épilogue



Le 8 septembre l'armée polonaise venant de Poznań pris par surprise les Allemands. Les membres du SOE purent ainsi fuir la Pologne. Cachés parmi la population, ils gagnèrent les Balkans avec de faux papiers. Par cargo ils rejoignirent par la Grêce la France. Les valises pleines de dossiers des programmes nazis et du pied en métal, ils furent reçus avec les honneurs par Churchill en personne.

Leur exploit montrait combien le SOE était un service secret nécessaire pour les alliés dans la lutte scientifique et mystique contre les nazis et leur soif d'horreur.



Résumé de renseignements recueillis



La Clinique comprend un laboratoire au 1er étage et deux salles d'opérations au sous-sol.



La documentation comporte d'une part une liste de cobayes tous issus de la noblesse juive polonaise et d'autre part les protocoles de recherches suivants menés par les chercheurs d’Artam Brotherhood  :



L’expérimentation médicale nazie désigne les expériences médicales pratiquées en vertu de l'idéologie nazie par des médecins SS du Artam Brotherhood. Elles exposaient les cobayes humains à des conditions cruelles voire barbares pour les plus extrêmes d'entre elles avec des apports scientifiques contestables voire inutiles. Des expériences comme des inoculations de germes mortels (typhus, peste, malaria) étaient également pratiquées, ainsi que des expériences sur l'alimentation, sur les gaz de combats, les brûlures au phosphore, des injections intraveineuses de phénol, essais de nouveaux sulfamides. Ces expériences ont été commanditées par l'armée allemande (Luftwaffe, Kriegsmarine, et Wehrmacht) dont les expériences sur la tuberculose, des opérations chirurgicales expérimentales parfois inutiles, essais d'alimentation variés, emploi de la mescaline, essais de vaccination ou pandémie contre le paludisme (moustiques) ou malaria, les expériences sur la reconstitution de l'os sans périoste, sur la gangrène gazeuse, sur la régénération de muscles, de nerfs et d'os, les expériences de stérilisation de femmes, les expériences mystérieuses avec une poudre blanche Zeta.



Expérimentations Personnelles



SULFAMIDES - HEXOBARBITAL

HertaOberheuser travaille sous la supervision du Dr Karl Gebhardt et prit part aux expérimentations médicales nazies dont l'utilisation de la sulfanilamide sur les os, les muscles et les nerfs, menées sur 86 femmes. 74 d'entre celles-ci étaient des prisonnières politiques polonaises. Elle fut responsable du décès d'enfants en bonne santé, causés par des injections d'huile et d'hexobarbital. Elle prélevait ensuite des organes et les membres amputés. Le temps d'injection des doses allait alors de trois à cinq minutes, la personne restait pleinement consciente jusqu'au dernier moment.



GANGRENE GAZEUSE

KarlGebhardt travaillait sur la gangrène gazeuse, une infection microbienne de type A (bactérie anaérobie).Cette bactérie produit du gaz au sein du tissu infecté. Il en résulte une sensation de crépitement, parfois perceptible lorsqu’on palpe les zones concernées. L'infection .se déclare après souillure des plaies par de la terre, des instruments ou des mains sales. Les infections de ce type étaient et restent les plus fréquentes sur des plaies de guerre. La « gangrène gazeuse » était l'une des infections les plus redoutées lors des guerres du passé (guerre de Sécession, Première Guerre mondiale), souvent soignée par l'amputation du membre touché ou conclue par la mort du patient. Elle se contracte aussi après contamination lors d’une intervention chirurgicale. Elle reste grave en dépit des progrès permis par les antibiotiques et l’utilisation de l’oxygénothérapie hyperbare.



CATALEPSIE

HelmutPoppendick travaillait sur la catalepsie. La catalepsie désigne la suspension complète du mouvement volontaire des muscles dans la position où ils se trouvent positionnés. L'attitude qui s'en dégage est celle d'une statue ou d'un mime conservant une position figée en pleine action. Un patient dans un tel état peut rester des heures dans une même position ; si l'on arrive à changer cette position (par exemple : soulever son bras), alors le malade restera dans cette position (tandis qu'un individu sain est incapable de rester dans une même position si longuement), donnant ainsi l'impression d'être passé à l'état de cadavre. Ses expériences demandées l'utilisation d'électrodes afin de stimuler les nefs et les liaisons neurologiques ou de les détruire.



Projet Der Übermensch SurHomme



Toutes les expériences menées ont pour but commun de doter l'armée allemande de surper-soldats.



PROGRAMME META




Une drogue pour donner du courage et rendre plus vigilent le soldat allemand



La méthamphétamine est une drogue de synthèse psychostimulante hautement addictive. Elle provoque une euphorie et une forte stimulation mentale. Pure, la méthamphétamine se présente sous une forme solide cristalline (d'où sa dénomination de « crystal »), incolore et inodore, qui peut rappeler du verre pilé ou de la glace (d'où sa dénomination de « ice »). Au Japon, à Hong Kong, aux Philippines, en Malaisie et en Indonésie elle est connue sous l'appellation shabu. L'amphétamine, découverte avant la méthamphétamine, fut d'abord synthétisée en 1887 en Allemagne par le chimiste roumain Lazăr Edeleanu qui l'appela phénylisopropylamine.

Peu de temps après, la méthamphétamine fut synthétisée à partir de l'éphédrine en 1893 par le chimiste japonais Nagai Nagayoshi.

Trois décennies plus tard, en 1919, le chlorhydrate de méthamphétamine fut synthétisé par le pharmacologiste Akira Ogata via la réduction de l'éphédrine en utilisant du phosphore rouge et de l'iode. La forme HCl a été synthétisée, brevetée en 1937 et commercialisée dès 1938 par la société pharmaceutique allemande « Temmler Werke GmbH » sous la marque « Pervitin ».

La méthamphétamine est généralement fumée sous sa forme cristalline, ou ingérée

sous forme de pilules. Les usagers injecteurs liquéfient les cristaux avec de

l'eau pour pratiquer l'injection.

Effets recherchés :

confiance en soi décuplée, stimulation de la vigilance , diminution de la fatigue/faim, euphorie , stimulation de la libido, retard à l'éjaculation,

Effets secondaires :

anxiété, agitation , diminution de la concentration , importante perte de poids, inflammation de la peau léthargie, déshydratation, lésions et destruction sévère des dents et de la cavité buccale,

Autres effets à long terme :

hallucinations, délires, paranoïa, comportements violents, dépression, troubles du sommeil et de la circulation sanguine, dérèglement du cycle menstruel chez les femmes.

Les effets de la prise de méthamphétamine durent de 8 à 24 heures et son effet se fait encore sentir dans le corps pendant au moins trois jours. Un usage répété peut entraîner une dépendance. Une dépendance psychologique apparaît rapidement ; il n'est cependant pas prouvé qu'une prise unique peut créer une dépendance.

L'usage prolongé et répété peut induire des troubles comportementaux (agressivité, troubles de l'adaptation), des épisodes psychotiques avec hallucinations et paranoïa . À long terme, la méthamphétamine peut provoquer une dépression du système immunitaire et de l'asthme.

Comme toutes les amines secondaires, la méthamphétamine est oxydée par le métabolisme en hydroxylamine, et favorise par conséquent la production de monoxyde d'azote , responsable de la régulation de la mort des cellules du système immunitaire, et fortement corrélé à l'asthme. Elle peut, éventuellement, provoquer de violentes hallucinations (fatigue, parfois — rarement — « psychose amphétaminique ») et un effet d'éveil important (trois, quatre jours sans dormir).



PROGRAMME ZETA




Un soldat insensible à la douleur et corvéable à souhait



Dans le vaudou haïtien, le zombie est une personne victime d'un bokor (prêtre vaudou), plongée dans un état cataleptique et privée de son âme par administration d'une puissante drogue à base de tétrodotoxine. La victime, qui passe pour morte, est ensuite enterrée ; au bout d'un certain temps (moins de 24 heures sous peine de mourir d'anoxie), le sorcier revient déterrer le corps de sa victime « à ressusciter » tout en récitant diverses formules magiques. Extrait de sa tombe, on lui administre aussitôt, puis encore le lendemain, une pâte ou un liquide à base d'atropine ou de datura, antidote qui élimine les effets du poison et le fait sortir de sa léthargie. Puis on lui donne une drogue hypnotique (scopolamine ou atropine) qui rend la victime amnésique et la réduit en esclavage, cet état étant facilité par les lésions cérébrales hypoxiques dues à la consommation de l'oxygène dans le cercueil. La tétrodotoxine ayant détruit leurs fibres nerveuses sensitives, certains zombies rendus insensibles aux petites blessures ont des muqueuses de nécrosées (comme la langue ou le voile du palais, ce qui leur donne une voix caverneuse).

La drogue est à base de tétrodotoxine, un poison puissant que l'on retrouve dans le tétraodon (poisson-ballon, le fufu haïtien ou fugu japonais), et est administrée sous forme de liquide à ingérer ou par contact avec la peau sous forme de poudre (placée notamment dans les chaussures ou à l'intérieur des vêtements, cette poudre est associée à une substance urticante du type venin de crapaud pour que la personne se gratte et que la poudre pénètre la peau) . En Haïti, on parle de « recevoir un coup poudre ». Elle donnerait à la victime toute l'apparence d'un mort par un arrêt complet apparent des fonctions vitales (état de catalepsie), tandis que le sujet resterait conscient et continuerait d'entendre ce qui se passe autour de lui. Selon les sources, le poison aurait un effet limité dans le temps ou pourrait être annulé avec un antidote. Cette pratique, courante en Haïti et au

Bénin, est interdite, mais elle perdure néanmoins, le vaudou étant une tradition ancestrale dans la culture de ces peuples.



La tétrodotoxine est une neurotoxine puissante qui se concentre dans le foie, les viscères, la peau et les gonades (organes reproducteurs, testicules, ovaires). La tétrodotoxine bloque de manière très sélective le pore des canaux sodium voltage-dépendants, empêchant l’influx nerveux.



Le tableau clinique se présente ainsi :

- atteinte du système nerveux avec paresthésies orales et périorales, nausées souvent accompagnées de vomissements, parfois avec diarrhées et douleurs abdominales ; vertiges, pâleur, sensation de malaise, puis ataxie et engourdissement général avec la sensation de flotter.

- Fourmillements et picotements des extrémités précédent la paralysie des membres inférieurs et des

extrémités ; modifications de la sensibilité profonde, la gorge et le larynx sont touchés très tôt ce qui provoque une dysphagie voire une aphagie complète, ainsi qu’une dysphonie ; dilatation des pupilles (mydriase) ; dans le cas d’intoxication aigüe, bradycardie et hypotension, hypersalivation, hypothermie, hypersudation, asthénie ; cyanose des extrémités et des lèvres, hémorragies pétéchiales sur le corps.

Ces symptômes surviennent en moyenne huit heures après ingestion. Par la suite, une paralysie spastique apparaît. Le décès est souvent dû à une paralysie respiratoire, l’état de conscience n’étant en général pas affecté.



On peut distinguer 4 stades dans l’intoxication :

1. paresthésies buccales suivies dans certains cas de nausées et vomissements.

2. paralysie motrice des doigts et des membres, perte des mouvements musculaires volontaires, catalepsie, cyanose, hypotension, dysphagie et dysphonie. Hyponatrémie.

3. Détresse respiratoire. La mort survient par arrêt respiratoire. Les battements cardiaques persistent mais sont de courte durée.

4. Arrêt cardiaque par collapsus.





Dossiers Perdus



Lorsque les membres du SOE ont cherché à récupérer les archives de la clinique dans le village la destruction d'un véhicule leur a fait perdre des documents. Apparemment des dossiers ont été perdus ou endommagés. Certaines pièces font référence au programme Aktion définit ainsi par le Chancelier Adolf Hitler, le 1er septembre 1939.

« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur en médecine Brandt sont chargés, sous leur responsabilité,

d'étendre les attributions de certains médecins. Ceux-ci pourront accorder une mort dite miséricordieuse aux malades qui auront été jugés incurables selon une appréciation aussi rigoureuse que possible. » Adolf Hitler, le 1er septembre 1939

Par un ordre du 5 septembre 1939 Martin Bormann chef de la chancellerie du parti nazi félicite les scientifiques chargés du programme expérimental et exige le passage à une forme industrielle.



Un pied en métal



Alors que le général allemand semblait invincible sous les balles, l'usage d'un explosif expérimental eu raison de lui. Pulvérisé, ses membres ont été éparpillés. Seul un pied fut découvert. Ce membre n'était pas en os mais en métal. S'agissait-il d'une prothèse ? Si tel était le cas, elle semble plus technique et plus résistante que celles de nos poilus de la 1ère guerre. De retour au QG du SOE les membres remirent le pied à l'agent Q. Niels BOHR aurait bien voulu en suivre l'expertise si ce dernier n'avait pas explosé. En effet
à en croire nos experts en technologie et en sciences physique pure,  il s'autodétruisit dans des flammes couleur émeraude.


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Secret Second World War Les Héros Membres du SOE

Présentation des Héros et Membres du SOE



 



Casting: présentations des personnages
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